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Le Projet Sextoy / Sextoy Stories

mercredi 22 janvier 2014, par cha

Plus de dix ans après le décès de Delphine Palatsi aka DJ Sextoy, le constat est triste : hormis quelques sujets TV de l’époque (Sept à Huit/TF1, Nulle Part Ailleurs/CANAL+, Tracks/ARTE), aucun portrait n’a été réalisé.


« Dans les années 90, le milieu du Djing est essentiellement masculin, et les femmes y ont difficilement accès.
 Figure atypique pour l’époque, tatouée, piercée, elle dégage un puissant sex appeal. À partir de ses propres codes « hip- hop techno sexy haute couture », elle se façonne un personnage de scène : DJ Sextoy, la Bad Girl. Lesbienne sans pour autant revendiquer son appartenance à la communauté gay, elle joue un rôle dans l’histoire du Pulp, club mythique parisien.

Alors que sa carrière est en pleine ascension, DJ Sextoy meurt brutalement en février 2002, elle a 33 ans. »

ANASTASIA MORDIN et LIDIA TERKI, amies de SEXTOY ont décidé de lui rendre hommage.

«  En derushant la multitude des archives et des témoignages réunis ce n’est pas UN film qui s’est dessiné peu à peu mais DEUX.

Les deux documentaires sont auto-produits, ils sont montés mais pas terminés. Nous sommes heureuses d’en être arrivées là, ça n’a pas été simple et ça nous a pris du temps.

Les programmateurs d’un festival de films musicaux parisien souhaitent présenter les films lors d’une soirée spéciale au printemps prochain ! Quel beau début pour un hommage !

Mais le travail n’est pas fini, il nous reste encore la post-production et nous devons faire vite, c’est pour cette raison que nous vous demandons votre soutien.

Vous pouvez nous aider à montrer ces films en participant à notre collecte !

Vous pouvez faire partie de ceux qui feront aboutir ce projet. »

« Pour réaliser cet hommage, nous avons entrepris de réunir le maximum de documents existants. À nos archives personnelles inédites se sont ajoutés articles de presse, photos et documents vidéos des années 90. Nous avons aussi sollicité en interview nombre d’ artistes avec qui elle avait collaboré mais aussi ami(e)s, et journalistes.

Ensemble, les deux films racontent la dualité d’un personnage, petit feu follet androgyne, drôle, plein d’énergie et pourtant réservé qui a fini par se transformer en icône trash hyper sexy. Ces deux films sont aussi les témoins d’une époque : celle où quelques filles artistes ont investi le milieu underground des années 90 à Paris. »

>> EN SAVOIR PLUS ET PARTICIPER AU PROJET <<

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