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" Elle s’est appelée successivement Rachel, Monique, Szyndler, Calle, Pagliero, Gonthier, Sindler.
Ma mère aimait qu’on parle d’elle. Sa vie n’apparait pas dans mon travail. Ça l’agaçait. Quand j’ai posé ma caméra au pied du lit dans lequel elle agonisait, parce que je craignais qu’elle n’expire en mon absence, alors que je voulais être là, entendre son dernier mot, elle s’est exclamée : "Enfin"."
Au Palais de Tokyo jusqu’au 27 novembre.
Midi minuit, tous les jours sauf le lundi.
13 av du pdt wilson. M°Iéna.
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