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PHOTOS D’ANNIVERSAIRE

dimanche 13 octobre 2013, par Sophie

On a fêté l’anniversaire de Foleffet la semaine dernière. Photos à l’appui.


Bon, on peut vous l’avouer sans fard, on a décidé un peu arbitrairement que le 05 octobre serait la date du jour de l’anniversaire de Foleffet mais en fait, Foleffet n’a pas de date de naissance, pas d’état civil, pas de numéro de sécu.
Et puis tout dépend de ce dont on parle.
De Foleffet-le-site ? De Foleffet le trouple infernal qui est le seul - à notre humble connaissance - à rouler comme sur des roulettes, sans drames ni cris, depuis 6 ans ? Ou de Foleffet qui se fait appeler Foleffete quand elle endosse ses habits de lumière et se met à tournoyer sur la piste ?

 

Le trouple

 

Cha, Yuri et Sophie* forment un trouple depuis au moins 6 ans. On a bien essayé le carbone 14 et tout ça mais on ne sait vraiment pas quand tout a commencé, quand on s’est vu pour la première fois et si c’était le coup de foudre ou pas. Alors entre nous on dit "c’est à la fermeture du Pulp, quand le site de la boite allait être désactivé, qu’on a lancé Foleffet le site". On passait des heures sur le forum-du-Pulp (dont une réplique à l’identique de 2005 fonctionne encore ici avec des vraies gens qui écrivent encore dessus) et c’est avec Joris, le webmaster du site du Pulp qu’on a lancé Foleffet pendant l’été.
Quelques mois [1] plus tard, une autre webmistress, Seds, a grandement modifié le look et l’ergonomie du site et on s’est dit que ce serait bien de faire une fête pour cette occasion. Et hop, les Foleffête ont commencé.

 

Anniversaire

 

La première eut lieu au bar Les 4 éléments du côté de République. On a bien rigolé, on y a fait plusieurs soirées mémorables. Puis on a migré dans plein d’autres lieux. En fouillant sur le site, on a retrouvé toutes ces photos qui nous plaisent, qui témoignent de ces mini-évènements comme de multiples rencontres et retrouvailles.

 

 

On avait envie de se replonger un peu dedans samedi dernier en ouvrant ces albums de notre gigantesque non-famille. La projection sur la vitrine permettait aux passants d’en profiter aussi. C’était "nuit blanche".

 

 

Pas par nostalgie ou regret ou auto-promo, mais parce qu’on est toujours et encore heureuses de mettre en place des soirées.
Cela a certainement à voir avec le fait qu’on a chacune un métier pas forcément drôle et qui n’a rien à voir avec le milieu LGBTQI. A travers Foleffet, on trouve le temps de se réunir, d’imaginer un concept le plus idiot possible, de chercher un bar sympa, de rassembler si possible d’autres énergies qu’on aime et hop !

 

 

L’Acte 3

 

Côté "bar sympa", on a trouvé l’Acte 3 tenue par Sabine qui essaye d’en faire un repère lesbien&gay&queer& ? depuis septembre. On avait envie de la soutenir. Et il y a Laure et Christine derrière le bar. Et les mojitos. Oui c’est vrai, les prix sont plus élevés que dans nos destinations précédentes, mais c’est la première fois en 6 ans qu’on fait vraiment la fête en même temps que tout le monde, sans prises de tête ni avant, ni pendant, ni après.

 

 

Le concept idiot

 

Comme chacune sait que je suis une selector vaniteuse, je mis Sabine au défi d’un ping-pong disco-un morceau chacune, où la première qui perdait devait boire un shot. Certes, j’aurais dû être également derrière le bar mais pour des raisons techniques indépendantes de ma volonté, cela ne fut pas possible. Si bien que j’ai gagné.
4 à 2. [2]

 

fffeeling

Depuis qu’on organise des soirées, des petites, des grosses, dans des petits, moyens ou grands bars, on note que quel que soit le lieu, quelle que soit la musique, les performances, les artistes, l’occasion, ce qui intéresse les personnes présentes c’est avant tout d’être ensemble et de...parler.

 

 

Ce n’est pas forcément se montrer, se pavaner, se faire voir.

 

 

Ce n’est pas frimer, aller backstage, fricoter avec les stars. Quoique...

 

 

A l’Acte 3, on pouvait donc parler au bar ou parler en bas.

 

 

Parler avec Tomb Raider...

 

 

...ou Piou-Piou.

 

Badass Crew

C’est avec une joie extatique qu’on accueillit les Badass pour leur premier mix parisien. Sérieusement, inexorablement, elles mirent le feu au dance-floor à grands coups de booty.

 

 

Il fallut approvisionner le bar -1 avec un nouvel arrivage de bières fraiches.

 

 

Profitant de la promiscuité contagieuse, certaines s’enhardirent à exiger des free-hugs.

 

 

Yu & Cha in ze mix

 

En surf sur la vague hip-hop, glissant du dance-floor aux platines, elles kidnappèrent l’assemblée.

 

 

Encouragements, cheers, big-ups et Celsius en progression constantes.

 

 

Ving-trois heures trente...

 

 

....minuit ...

 

 

...

 

 

Une heure et quart...

 

 

Awards

Non on ne se prend pas au sérieux. Oui on anime un site et on véhicule une certaine idée, notre idée, de ce que c’est que d’avoir une sexualité gouine et de se vivre gouine en France en 2013, mais on ne prétend pas être des expertes de quoi que ce soit, à part de nous-mêmes - et encore. Ce qui va suivre est donc totalement subjectif et à prendre avec toute la légèreté dont vous savez faire preuve.

 

Est élue la créature la plus classe...

 

Est élue la créature la plus mystérieuse...

 

Est élue la créature qui sait pas peindre propre...

 

Est élue la créature la plus anniversaire

Et remember : Stan Smith Rule !

 

MERCI d’avoir été là pour souffler avec nous nos non-bougies !


Crédits photos :
Sophie Anquez, Sabine et Sophie*


Notes

[1] Ou année, on ne sait pas, désolé !

[2] Eh oui Sabine, c’est la vérité vraie.

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