Dominique Chaudey se pose cette question dans sa chronique "c’est ma night" dans le TETU du mois d’octobre (P.188).
" (...) Et ceux du Pulp ? Les gays qui remplissaient la tanière à Michèle, qui arpentaient le boulevard poissonnière, ils vont où ? On dit ici et là que les lesbiennes iraient à la Java. Mais on est loin des grandes envolées pulpiennes. Dernièrement une morue lesbienne, plus couramment appelée "poisson-chat" beacause la moustache, en venait à pleurer le Katmandou, c’est dire."
On appréciera diversement la "morue lesbienne" ou "le poisson-chat"...