A l’occasion de la sortie de l’album "Mon Ange" de Video Love, Lentonia Records invite golden diskó ship et Kartei à L’International le dimanche 23 Octobre à 20h00. Entrée libre !
VIDEO LOVE
Lentonia Records
Ambiances obscures des films de genres et couleurs martiennes, textes en forme d’énigmes poétiques, morceaux construits à partir de collages sonores, dérapages et manipulations approximatives de bandes, résultats musicaux toujours justes mais avec un étrange décalage quasi-impressionniste. Qu’importent l’époque, les dates de péremption, les styles, on y retrouve des traces de John McEntire ou Mouse On Mars, EDH (sur le label et au mix) ou Rechenzentrum , Neu !, Can ou Spaceman 3 … (Essmaa)
Video Love
GOLDEN DISKO SHIP
Monika Enterprise
Projet solo d’une jeune et talentueuse Berlinoise, Golden Diskó Ship surprend par la richesse et la simplicité de son univers. Armée d’une guitare, d’un bazar de machines et de jouets, l’Allemande décline un monde fragile et inventif marqué d’une sensibilité troublante. Trifouillant instruments, objets et samples, la jeune compositrice fait émerger des mélodies étranges et réconfortantes oscillant entre pop, folk et électro-acoustique. Rappelant parfois, par des touches discrètes, CocoRosie, Devics ou Leila, Golden Diskó Ship se détache pourtant rapidement de ces références pour s’envoler (naviguer ?) d’elle-même. (popnews)
KARTEI
WT Records
Un groupuscule techno nommé Kartei qui adoptera son nom et son dogme créatif courant 2007 en références aux cartes perforées des ordinateurs des années 70 évoquées dans une chanson d’amour cybernétique méconnue. Leur musique s’inspire de la poésie d’un monde où les sentiments se cachent derrière la stérilité bureaucratique du 21eme siècle. Comme une 4ème génération de Detroit-Techno, une orchestration plus proche de la techno-pop néanmoins fidèle à l’essence électronique, qui vise à colporter le phénomène d’asymétrie d’information. Une technopop-Post Tertiaire où mélancolie et énergie sont de rigueur. Comme dans les bureaux de l’espace qui hébergeront bientôt nos meilleurs supertravailleurs de demain, après la chute de sisyphus 1866. Une invitation à célébrer une dernière fois, la distance qui nous sépare.