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FANTASMES D’ECOLIERES

mardi 14 septembre 2010, par C.Line

Souvenez vous de cette prof sexy dont vous vous étiez amourachée....


Vous souvenez vous de vos premiers émois d’adolescente sur les bancs de l’école ? A chaque rentrée, l’image de cette prof de français, de dessin ou d’histoire géo (plus rarement de maths) revient – elle des profondeurs de la nuit envahir vos rêves de son parfum suranné ?

Vous avez à nouveau quinze ans, la peau tendre, frissonnante, les yeux humides, les mains moites, le sourire stupide et appareillé, la coiffure improbable et la culotte trop large de l’époque. Elle se tient devant vous. Elle vous interroge. Vous rougissez car vous n’avez pas encore le talent de dissimuler n’importe quel trouble passager derrière cette expression de Terminator blasé que vous apprendrez à maîtriser à l’âge adulte.

Vous bafouillez, vous répondez d’une voix de canard étranglé. Les autres rigolent. Vous vous pétrifiez de honte. Il y a la chaleur de la salle empuantie par la respiration d’un troupeau d’haleines douteuses, le pull qui gratte, le doigt nerveux qui tripote une pustule embryonnaire, la salive qui s’épaissit, le désir incontrôlable emprisonné dans ce corps inconfortable.

Vous guettez son passage dans les couloirs du lycée. En cours, vous tentez de vous faire remarquer, vous devenez la meilleure de la classe dans sa matière. Vous imaginez qu’elle vous convoque dans son bureau, qu’elle vous serre tendrement contre elle, vous embrasse, dégrafe votre soutien-gorge 100A (vous êtes un peu forte à cet âge) ou qu’elle vous punisse avec une petite badine en cuir tressé, qu’elle vous fasse nettoyer ses escarpins avec la langue (pour les plus matures).

Vous vous épuisez en longues insomnies frustrantes à répéter inlassablement un scénario idéal au dénouement érotique. Des années plus tard, souvent après une rupture difficile, dans un sursaut de mélancolie vainement consolateur, vous vous surprendrez à chercher son nom sur internet, espérant voir à quoi elle ressemble. Au plus profond de la dépression, vous envisagerez même peut être de la contacter… Si vous passez à l’acte, inquiétez vous de votre santé mentale.

Existe-t-il des chanceuses qui ont réussi l’exploit de coucher avec leur professeur des écoles ? J’attends vos témoignages au bas de cette page.

Pour faciliter la réminiscence de vos fantasmes lointains :

La distribution des lumières de Stéphanie Hochet qui traite du pouvoir de manipulation d’une jeune fille sur son entourage pour s’approcher de son obsession, sa prof de musique.

Elle de Martine Roffinella, superbe roman introspectif au style ciselé décrivant la passion d’une élève pour sa prof.

Cracks, film sorti en DVD, avec Eva Green dans le rôle de la professeur bohême années 20, hyper sexy dans ses tenues rétro.

Et à revoir :

Jeunes filles en uniforme, film culte de 1931, de Léontine Sagan, remake de Géza von Radvany, de 1958 avec Romy Schneider.

7 messages
  • Chouette article qui retranscrit plutôt fidèlement les affres des amoures scolaires...

    En CM1, Melle M, en trosième une autre Melle M (prof d’anglais) et en terminale Mme C. prof de philo... Et à chaque fois effectivement, mes béguins m’obligeait à un devoir d’excellence dans la matière (c’est à dire en toutes, en CM1, pas facile !). En plus de la prof qui traumatise, j’avais aussi mon amour secret et intense pour une élève dans ma classe (et ce, chaque année de toute ma scolarité, mon premier souvenir remontant là aussi en CM1, et oui, on peut aimer 2 personnes en même temps, surtout si l’espoir de voir cet amour se concrétiser fait partie de ses fantasmes les plus fous, donc autant pas se limiter). Bon j’étais pas aidé (genre, je me plains) j’ai fait une école catho pour filles. Franchement ça nécessite une bonne résistance cardiaque.Parfois je me demande comment ça se fait qu’elles soit pas toutes devenues lesbiennes... Bref je divague et j’ai jamais concrétiser, enfin je soupçonne certaines d’avoir compris et aimé que je les aime, mais là n’était pas l’important, avec le recul...

  • En 6ème, il y a eu madame A, en 5ème, madame B, en 4ème, madame C, en 3ème, madame D, etc jusqu’à Z. Oui, non, p’t’être pas quand même, mais pas loin.

    En tout cas, si je suis tombée amoureuse de quasi tout l’alphabet, il n’y a malheureusement jamais rien eu de concret... Tiens, ça m’fait penser, qu’est ce qu’elles sont devenues ?! *recherche google*.

    • Merci pour vos réponses. J’aurais aimé aussi des histoires érotiques torrides, dans les douches du gymnase, sur le saut de cheval ou les tapis de sol, sur le bureau d’écolier, contre la porte du grand réfrigérateur de la cantine....

      • Ah ben ça justement ce sont des fantasmes. Y’a que dans les magazines féminins ou dans les romans que ça se passe... Surtout qu’un prof qui cède à ce genre de tentations encours quand même pas mal de risques (ouuuh la rabat joie...). Non mais tout ça pour dire qu’à mon avis ce genre d’histoire ne court pas les rues.

  • Olol j’ai toujours eu des profEs qui puent la mort, donc pas la joie niveau fantasmes, etc.

    Sauf qu’à l’instant même, je me rappelle de ma prof de français de 5e, une petite jeune d’à peine la vingtaine, blondinette aux lunettes, charmante gestuelle et encore pleine d’idées et de goût pour l’innovation, bref en fait je réalise MAINTENANT qu’à l’époque j’avais grave craqué à mort pour elle ! (Et oui j’étais encore loin de me douter à cet âge que j’étais lesbi !

    Rolala me voilà toute émoustillée du coup !

    Bon bien sûr moi aussi je faisais de mon mieux pour avoir des notes de malades, des répliques originales, un air mature dans son cours (MAIS LOL) huhu sauf qu’elle s’est cassé au bout d’un an la vilaine ; et un jour je l’ai recroisée genre 2-3 ans plus tard, et rebelote, mon palpitant qui fait des cabrioles !

    Je précise quand même que je la kiffais pas mal, malgré le fait qu’elle m’avait séparée de mes copines pour que je m’assoie à côté du connard-poseur-prétentieux de la classe que je pouvais pas saqué (malgré sa gueule d’ange ...). Bon en fait, elle avait fait pareil pour toute la classe, j’étais même pas un cas à part. *va pleurer dans un coin*

    Je comprends maintenant pourquoi j’étais complètement hypnotisée quand elle passait sa main dans sa blonde chevelure (*.*) OMG en fait ça fait trop longtemps que je ne suis pas hétérote !

    Hmmm bref sur ce, je crois que google est mon ami ...

    [Pas d’histoire torrides pour aujourd’hui, sorry ;)]

  • Ahlalala, les amours d’écoliere. ..bizarrement j’ai immédiatement l’image de ma prof d’anglais de quatrième qui me vient a l’esprit, allez savoir pourquoi. .. Mme C, une beauté brune aux beaux yeux noir, toujours très sexy et raffiné, une excellente prof , enceinte a l’epoque en plus... tous les mecs la reluquaient et je ne peut que leur donner raison. ..j’ai passé nombre d’heures de cours fascinée, heureusement je n’ai pas plombé mon année !

  • Et pendant ce temps-là, aux States, des profs de NYC ont été accusées d’avoir fait du sexe dans une classe après les cours. Bien qu’elles accusent l’homme de ménage d’avoir eu une imagination un peu débridée, il semblerait qu’elles aient détruit la vidéo de la caméra de surveillance... Elles sont en procès avec leur ancienne école qui les avaient virées. Faut pas rigoler avec le sexe quand on est prof aux States ! > http://www.advocate.com/News/Daily_...